Nous soutenons cette année encore le festival
Éclat des Toiles
qui contribue à la vie culturelle de notre territoire.
En ouverture un film projeté à Labeaume sur le patrimoine industriel de l’Ardèche.,
Empreinte vivante
Nous soutenons cette année encore le festival
qui contribue à la vie culturelle de notre territoire.
En ouverture un film projeté à Labeaume sur le patrimoine industriel de l’Ardèche.,
Empreinte vivante
Le matin au bord de la Baume avec Günther Fleck
spécialiste mondial
Günther vous racontera tout sur la vie des libellules, on pêchera des larves dans la rivière et on admirera ces superbes animaux
Samedi 2 juillet à 8H30
RDV chez Marie -Hélène Balazuc
Première maison à droite après le Récatadou
Nous remonterons le cours de la rivière pour voir les libellules.
Il y a peu d’ombre, prendre de l’eau. On peut se baigner à la fin.
Retardataires : vous descendez le sentier situé juste après le parking du Récatadou et ensuite prendre à droite à l’embranchement
INSCRIVEZ VOUS PAR MAIL à : balamuse2@gmail.com de préférence, ou au 0475939208
On offre d’habitude 10 euros par famille à Günther pour sa magnifique prestation.
Mercredi 1er juin :
conférence de Yann Callot sur les paysages naturels de l’Ardèche méridionale. En partenariat avec Dolmens et Patrimoine. À partir de 19 h.
Lundi 4 juillet, salle du Récatadou :
Vive l’Eau, l’impact du changement climatique sur nos rivières et notre approvisionnement. Comment économiser l’eau ?
Conférence de Simon Lalauze, chargé de mission à l’Établissement Public du Bassin Versant. En présence de Jean Pascal, président du SEBA . À partir de 18 h.
Mercredi 24 août, salle du Récatadou :
Assemblée Générale de Vivre à Labeaume.
À partir de 17 h.
D’année en année les Labeaumois constatent avec désolation les risques et les dangers de la circulation routière sur notre commune, notamment en juillet et en août. À ce titre, VAL souhaite étudier avec la municipalité les questions suivantes…
Vivre à Labeaume vous propose de travailler en 2020-2021 sur le thème des réserves en eau ce qui conduit bien sûr à étudier les citernes, qui ont été indispensables et redeviennent dans les conditions de climat actuel une solution possible. Dans le bulletin de VAL daté du 29 Mai 2009, nous avions consacré un article à ce sujet sous le titre L’eau qui dort. Nous devons pouvoir enrichir cette réflexion et l’actualiser.
Vos expériences en la matière seront les bienvenues afin que les idées et les projets ne dorment pas !